jeudi 31 mars 2011

Les richesses culturelles de la Libye sont-elles en danger?

Les richesses culturelles de la Libye sont-elles en danger à cause des combats entre partisans de Kadhafi et insurgés? «Non», répond Vincent Michel, directeur de la mission archéologique française en Libye. Contrairement à ce qui a pu se passer en Egypte lors de la révolution - où des pillards ont pénétré dans le principal musée du Caire, détruisant plusieurs statues -, ou encore en Irak en 2003, avec des razzias sur les objets culturels et le pillage du musée de Bagdad, la situation en Libye est beaucoup moins critique sur ce plan.
Les hostilités à l'arme lourde ne représenteraient pas une menace immédiate. Selon l'archéologue, «il n'y a pas eu de dommages sur les principaux sites archéologiques de Libye, en Tripolitaine ou en Cyrénaïque. Ils ne sont pas devenus des champs de batailles». Concernant les musées, «rien n'a changé, si ce n'est que les pièces les plus importantes ont été entreposées en lieux sûrs». Vincent Michel, qui fouille en Libye depuis dix ans, ne s'estime «pas préoccupé car dès le début des affrontements, le personnel comme les habitants se sont organisés pour protéger les antiquités archéologiques, comme à Cyrène ou à Apollonia».
«Des fouilles clandestines très rares»
Protéger les richesses libyennes, une évidence: Le pays est en effet une mine d'or pour les sites archéologiques. Occupée par la plupart des civilisations ayant successivement régné sur la Méditerranée, le pays abrite quatre sites classés au patrimoine mondial de l'Unesco: l'ancienne ville de Ghadamès, et les sites de Cyrène, Sabrata et Tadrart Acacus, ou encore les ruines de Leptis Magna, une ancienne station balnéaire de l'Empire romain à l'est de Tripoli.
Et le risque de pillages? Pour Vincent Michel, le risque est très faible

Que peut on esperer de Steven benoit a la 49eme legislasture

Le sénateur élu de l'Alternative, Steven Benoît, fait montre d'un dévouement à nul autre pareil pour la 49 eme législature. Il revendique une trentaine d'élus (25 députés) lors du second tour des législatives.

Dans le collimateur de l'ex député de Pétion ville, les membres du directoire de l'Inité. M. Benoît met en garde contre des fraudes lors du processus de décompte et réclame l'accès au centre de tabulation pour un représentant de l'Alternative.

Désormais coordonnateur de facto des candidats de l'Alternative, M. Benoît annonce que le groupe parlementaire Alternative et allié comptera plus d'une trentaine de députés. Le groupe qui a déjà accueilli les candidats à la députation de Repons Peyizan pourrait intégrer également les futurs élus de Pont et AAA. Dans le meilleur des cas le groupe Alternative ne pourra pas dépasser une quarantaine de députés concède M. Benoît qui n'écarte pas la possibilité de compromis avec le futur chef du gouvernement.

En cas de mésaventure de l'Inité le parti au pouvoir pourrait se retrouver avec également une quarantaine de parlementaires, argue M. Benoît. Dans ce cas de figure un groupe minoritaire d'une vingtaine d'élus jouerait le rôle d'arbitre. Ces élus de Véyé Yo, Ansanm Nou Fò, Lavni etc ont tous une sensibilité lavalas selon le député Benoît. Il s'attend à ce que ces élus regagnent les rangs de Fanmi Lavalas avant de former un bloc parlementaire.

La guerre fasciste de l’OTAN ( FIDEL CASTRO)


                          PAS besoin d’être voyant pour savoir que ce que j’avais prévu avec une précision rigoureuse dans trois Réflexions publiées sur le site CubaDebate entre le 21 février et le 3 mars : « Le plan de l’OTAN est d’occuper la Libye », « La danse macabre du cynisme » et « La guerre inévitable de l’OTAN », allait se passer.
Même les dirigeants fascistes de l’Allemagne et de l’Italie ne furent pas aussi impudents lors de la guerre civile espagnole de 1936, un épisode dont beaucoup se seront sans doute souvenus ces jours-ci.
Presque soixante-quinze ans se sont écoulés depuis, mais rien n’est comparable aux changements qui ont eu lieu en soixante-quinze siècles ou, si on le veut, en soixante-quinze millénaires de vie humaine sur notre planète.
Ceux qui, comme moi, donnent une opinion sereine sur ces sujets semblent parfois exagérer. J’ose dire que nous sommes plutôt naïfs de supposer que tout le monde devrait être conscient de la duperie ou de l’ignorance colossale où l’humanité a été entraînée.
En 1936, deux systèmes, deux idéologies à peu près égaux en pouvoir militaire se faisaient face d’une manière intense.
Les armes d’alors ressemblaient à des jouets au regard des armes actuelles. Malgré leur pouvoir destructeur et  localement meurtrier, la survie de l’humanité était garantie. Des villes entières, voire des nations pouvaient être virtuellement rasées, certes, mais jamais les êtres humains dans leur totalité ne pouvaient être plusieurs fois exterminés à cause du pouvoir stupide et suicidaire que permettent les sciences et les technologies actuelles.
Compte tenu de ces réalités, les nouvelles qui ne cessent de parvenir au sujet de puissants missiles dirigés par laser et d’une précision totale, de chasseurs-bombardiers qui volent à deux fois la vitesse du son, de puissants explosifs capables de faire fondre des métaux durcis à l’uranium, un matériaux dont l’effet sur les habitants et leurs descendants perdure pour des temps indéfinis, ont de quoi faire honte.
Cuba a exposé sa position sur le problème interne libyen à la réunion de Genève : elle a défendu sans hésiter l’idée d’un règlement pacifique et elle s’est opposée catégoriquement à toute intervention militaire étrangère.
Dans un monde où les États-Unis et les puissances capitalistes développées d’Europe, leurs alliées, s’emparent toujours plus des ressources et du fruit du travail des peuples, tout citoyen honnête, quelle que soit sa position face à son gouvernement, s’opposerait catégoriquement à une intervention militaire étrangère dans sa patrie.
Le plus absurde de la situation actuelle, c’est que, juste avant le déclenchement de cette guerre brutale dans le Nord de l’Afrique, un accident nucléaire s’était produit dans une autre région du monde à presque dix mille kilomètres de là, à l’un des endroits les plus densément peuplés de la planète, à la suite d’un séisme de magnitude 9 et du tsunami qu’il a provoqué, ce qui a coûté à un pays aussi travailleur que le Japon presque trente mille victimes mortelles. Un accident pareil n’aurait pas pu se produire voilà soixante-quinze ans.
En Haïti, un pays pauvre et sous-développé, un tremblement de terre de seulement 7 degrés de magnitude sur l’échelle Richter a provoqué plus de trois cent mille morts et des centaines de milliers de blessés.
Mais ce qu’il y a de plus terriblement tragique au Japon, c’est l’accident de la centrale atomique de Fukushima dont il reste encore à déterminer les retombées.
Je ne citerai que quelques titres d’agences de presse :
« ANSA. La centrale nucléaire de Fukushima 1 émet "des radiations extrêmement fortes, potentiellement mortelles", a affirmé Gregory Jaczko, chef de la Nuclear Regulatory Commission (NRC), l’organisme étasunien chargée de l’énergie atomique. »
« EFE. La menace nucléaire découlant de la situation critique dans laquelle s’est retrouvée une centrale au Japon après le séisme a relancé les révisions sécuritaires des centrales atomiques dans le monde entier et a conduit certains pays à paralyser leurs projets. »
« Reuters. Le séisme destructeur du Japon et l’aggravation de la crise nucléaire pourraient causer jusqu’à 200 milliards de dollars de pertes à son économie, mais il est difficile pour le moment d’en évaluer l’impact mondial. »
« EFE. La détérioration, l’un après l’autre, des réacteurs de la centrale de Fukushima continuait d’alimenter aujourd’hui la crainte d’une catastrophe nucléaire au Japon, dans la mesure où les tentatives désespérées de contrôler la fuite radioactive ne laissent guère de place à l’espoir. »
« AFP. L’empereur Akihito est inquiet devant le caractère imprévisible de la crise atomique qui a frappé le Japon après le séisme et le tsunami qui ont tué des milliers de personnes et ont laissé cinq cent mille sans abri. Un nouveau séisme s’est fait sentir dans la région de Tokyo. »
D’autres dépêches sur ce sujet sont encore plus inquiétantes. Certaines signalent que l’iode radioactif toxique présent dans l’eau potable de Tokyo est deux fois plus élevé que la quantité tolérable par les petits enfants. L’une d’elles affirme que les réserves d’eau en bouteille sont sur le point de s’épuiser à Tokyo, la capitale située à plus de deux cents kilomètres de Fukushima.
Cet ensemble de circonstances configure une situation dramatique pour notre monde.
Je peux exprimer en toute liberté mes vues sur la guerre en Libye.
Je ne partage pas de conceptions politiques ou religieuses avec le leader de ce pays. Je suis, je l’ai dit, marxiste-léniniste et martinien.
Je considère la Libye comme un membre du Mouvement des pays non alignés et un État souverain, au même titre que les presque deux cents membres de l’Organisation des Nations Unies.
Jamais un pays, grand ou petit – en l’occurrence un pays d’à peine cinq millions d’habitants – n’a été victime d’une attaque aussi brutale de la part de forces de l’air d’une organisation belliciste qui possède des milliers de chasseurs-bombardiers, plus de cent sous-marins, des porte-avions nucléaires et assez d’arsenaux pour détruire bien des fois la planète. Notre espèce n’a jamais connu une telle situation, et rien de pareil n’existait voilà soixante-quinze ans quand les bombardiers nazis attaquaient des objectifs en Espagne.
Il n’empêche que l’OTAN, cette organisation criminelle et discréditée, nous écrira un « belle » histoire à dormir debout sur son bombardement « humanitaire ».
Si Kadhafi veut faire honneur aux traditions de son peuple et se décide à se battre, comme il l’a promis, jusqu’à son dernier souffle aux côtés des Libyens qui endurent les pires bombardements que jamais aucun pays n’a connus, il traînera dans la fange de l’ignominie l’OTAN et ses visées criminelles.
Les peuples accordent leur respect et leur confiance à ceux qui savent remplir leur devoir.
Voilà plus de cinquante ans, après que les États-Unis eurent assassiné plus de cent Cubains en faisant exploser le cargo La Coubre, notre peuple s’est exclamé : « La patrie ou la mort ! » Il a tenu parole et il a toujours été prêt à la tenir.
L’un des combattants les plus glorieux de notre histoire s’est écrié : « Quiconque tente de s’emparer de Cuba ne recueillera que la poussière de son sol baigné de sang ! »
Qu’on me pardonne la franchise avec laquelle j’aborde cette question.

Fidel Castro Ruz
Le 28 mars 2011
20 h 14

Discover Cap haitian, haiti and Nicolas Ronel pictures

Discover Cap haitian, haiti and Nicolas Ronel pictures

Michel Martelly crie deja sa victoire

Haïti: Michel Martelly a annoncé jeudi matin sa victoire aux élections du 20 mars avec 69,74% des voix exprimées.

L'ancien chanteur s'est autoproclamé président élu de la République d'Haïti à partir d'une communication sur son compte twitter émise vers dix heures du matin ce jeudi quelques heures avant une conférence de presse de son équipe de campagne.

Sans opiner sur les statistiques avancées par Michel Martelly, Edmond Mulet, interrogé par Le Nouvelliste au téléphone alors qu'il visite le site ou sont érigés les nouveaux bâtiments du parlement qui accueilleront l'investiture du prochain président élu a appelé toutes les parties engagées dans le processus électoral à la patience. « Ce n'est qu'une attente de trois jours, les résultats officiels vont être proclamés. »

« Il ne faut pas tomber dans la précipitation, il faut attendre les résultats officiels, on peut tous patienter et attendre les résultats officiels du Conseil électoral provisoire », insiste Mulet. Le représentant du Secrétaire général des Nations unies en Haïti se veut rassurant : « ce qui se passe au Centre de tabulation des votes est un processus rigoureux et sérieux, attendons les résultats officiels ».
Dans sa communication sur Twitter Martelly a dit : « Vre rezilta eleksyon prezidansyel yo daprè pwosè vèbal yo, montre Martelly prezidan Ayiti ak 69,74%. An nou tann pou nou we sa KEP a ap di » (d'après les procès-verbaux, les vrais résultats de l'élection présidentielle montrent que Martelly est président avec 69,74% des voix. Nous attendons de voir ce que le Conseil Electoral Provisoire va publier).

Le message provient du compte presidentmicky que le candidat alimente depuis le début de la campagne électoral sur ce réseau social.

Carel Pèdre, animateur de radio et gourou des réseaux sociaux en Haïti qui a l'habitude d'échanger avec Michel Martelly par ces canaux a confirmé au Nouvelliste que « l'annonce est bien de Martelly » et que « le compte est opéré par le candidat lui-même » comme cela est de coutume sur le réseau social twitter.

Cette revendication de la victoire tombe deux jours après que le Conseil Electoral ait décidé du report au 4 avril de la proclamation des résultats préliminaires prévue pour le 31 mars et coïncide avec l'annonce le jeudi 31 mars que tous les procès-verbaux des votes pour la présidentielles ont été traités au Centre de tabulation des votes.

C'est la première fois que l'un des deux candidats engagés dans la course pour la présidentielle se déclare vainqueur en avançant des pourcentages.

Les avocats et l'équipe de campagne du candidat de Repons Peyzan donnent une conférence de presse à une heure trente cet après-midi au Plaza Hotel au centre de Port-au-Prince.

Haïti: Michel Martelly a annoncé jeudi matin sa victoire aux élections du 20 mars avec 69,74% des voix exprimées.

L'ancien chanteur s'est autoproclamé président élu de la République d'Haïti à partir d'une communication sur son compte twitter émise vers dix heures du matin ce jeudi quelques heures avant une conférence de presse de son équipe de campagne.

Sans opiner sur les statistiques avancées par Michel Martelly, Edmond Mulet, interrogé par Le Nouvelliste au téléphone alors qu'il visite le site ou sont érigés les nouveaux bâtiments du parlement qui accueilleront l'investiture du prochain président élu a appelé toutes les parties engagées dans le processus électoral à la patience. « Ce n'est qu'une attente de trois jours, les résultats officiels vont être proclamés. »

« Il ne faut pas tomber dans la précipitation, il faut attendre les résultats officiels, on peut tous patienter et attendre les résultats officiels du Conseil électoral provisoire », insiste Mulet. Le représentant du Secrétaire général des Nations unies en Haïti se veut rassurant : « ce qui se passe au Centre de tabulation des votes est un processus rigoureux et sérieux, attendons les résultats officiels ».
Dans sa communication sur Twitter Martelly a dit : « Vre rezilta eleksyon prezidansyel yo daprè pwosè vèbal yo, montre Martelly prezidan Ayiti ak 69,74%. An nou tann pou nou we sa KEP a ap di » (d'après les procès-verbaux, les vrais résultats de l'élection présidentielle montrent que Martelly est président avec 69,74% des voix. Nous attendons de voir ce que le Conseil Electoral Provisoire va publier).

Le message provient du compte presidentmicky que le candidat alimente depuis le début de la campagne électoral sur ce réseau social.

Carel Pèdre, animateur de radio et gourou des réseaux sociaux en Haïti qui a l'habitude d'échanger avec Michel Martelly par ces canaux a confirmé au Nouvelliste que « l'annonce est bien de Martelly » et que « le compte est opéré par le candidat lui-même » comme cela est de coutume sur le réseau social twitter.

Cette revendication de la victoire tombe deux jours après que le Conseil Electoral ait décidé du report au 4 avril de la proclamation des résultats préliminaires prévue pour le 31 mars et coïncide avec l'annonce le jeudi 31 mars que tous les procès-verbaux des votes pour la présidentielles ont été traités au Centre de tabulation des votes.

C'est la première fois que l'un des deux candidats engagés dans la course pour la présidentielle se déclare vainqueur en avançant des pourcentages.

Les avocats et l'équipe de campagne du candidat de Repons Peyzan donnent une conférence de presse à une heure trente cet après-midi au Plaza Hotel au centre de Port-au-Prince.

Haïti: Michel Martelly a annoncé jeudi matin sa victoire aux élections du 20 mars avec 69,74% des voix exprimées.

L'ancien chanteur s'est autoproclamé président élu de la République d'Haïti à partir d'une communication sur son compte twitter émise vers dix heures du matin ce jeudi quelques heures avant une conférence de presse de son équipe de campagne.

Sans opiner sur les statistiques avancées par Michel Martelly, Edmond Mulet, interrogé par Le Nouvelliste au téléphone alors qu'il visite le site ou sont érigés les nouveaux bâtiments du parlement qui accueilleront l'investiture du prochain président élu a appelé toutes les parties engagées dans le processus électoral à la patience. « Ce n'est qu'une attente de trois jours, les résultats officiels vont être proclamés. »

« Il ne faut pas tomber dans la précipitation, il faut attendre les résultats officiels, on peut tous patienter et attendre les résultats officiels du Conseil électoral provisoire », insiste Mulet. Le représentant du Secrétaire général des Nations unies en Haïti se veut rassurant : « ce qui se passe au Centre de tabulation des votes est un processus rigoureux et sérieux, attendons les résultats officiels ».
Dans sa communication sur Twitter Martelly a dit : « Vre rezilta eleksyon prezidansyel yo daprè pwosè vèbal yo, montre Martelly prezidan Ayiti ak 69,74%. An nou tann pou nou we sa KEP a ap di » (d'après les procès-verbaux, les vrais résultats de l'élection présidentielle montrent que Martelly est président avec 69,74% des voix. Nous attendons de voir ce que le Conseil Electoral Provisoire va publier).

Le message provient du compte presidentmicky que le candidat alimente depuis le début de la campagne électoral sur ce réseau social.

Carel Pèdre, animateur de radio et gourou des réseaux sociaux en Haïti qui a l'habitude d'échanger avec Michel Martelly par ces canaux a confirmé au Nouvelliste que « l'annonce est bien de Martelly » et que « le compte est opéré par le candidat lui-même » comme cela est de coutume sur le réseau social twitter.

Cette revendication de la victoire tombe deux jours après que le Conseil Electoral ait décidé du report au 4 avril de la proclamation des résultats préliminaires prévue pour le 31 mars et coïncide avec l'annonce le jeudi 31 mars que tous les procès-verbaux des votes pour la présidentielles ont été traités au Centre de tabulation des votes.

C'est la première fois que l'un des deux candidats engagés dans la course pour la présidentielle se déclare vainqueur en avançant des pourcentages.

Les avocats et l'équipe de campagne du candidat de Repons Peyzan donnent une conférence de presse à une heure trente cet après-midi au Plaza Hotel au centre de Port-au-Prince.

Michel Martelly crie déjà sa victoire

Correspondance du PDG de Radio Caraïbe à Edmond Mullet

Haiti -Education- Shakira in Haiti

Haiti - Education : Shakira in Haiti tomorrow
Wednesday night, Shakira, the Colombian singer, will perform featured alongside many artists to the Olympic Stadium Felix Sanchez in Santo Domingo as part of the Pop Festival.

Thursday around noon, the interpreter of "Hips Don't Lie" will travel to Haiti accompanied by businessman George Nader, Luis Alberto Moreno, President of the Interamerican Development Bank (IDB) and the journalist Colombian Julio Sánchez Cristo.

The famous singer, who has already made a trip to Haiti after the earthquake to assess the situation in person, will submit, on behalf of her foundation Pies Descalzos, [which funds school construction in several countries of Latin America], a gift of $ 800,000 for the construction of a school in Haiti [according to the latest informations that reach us, it would be the reconstruction of the Ecole Elie Dubois, a girls school built in 1913 in Port-au-Prince and run by nuns

La vérification des procès verbaux présidentiels au centre de tabulation



Le directeur du Centre de Tabulation des Votes (CTV), Widemarck Matador, annonce que la vérification des procès verbaux présidentiels est arrivée à terme et indique que 14% d’entre eux sont définitivement écartés.
« Tous les procès verbaux des candidats à la présidence sont déjà vérifiés et sont saisis en majorité », déclare-t-il lors d’une conférence de presse ce 30 mars au CTV.
11.182 est le nombre total de procès verbaux reçu pour la présidentielle, dont 6.000 ont été transmis à l’Unité de Contrôle Légal (UCL) et 1.518, soit 14 %, sont définitivement écartés.
Les deux candidats à la présidence pourront éventuellement demander au Cep de revenir sur les procès verbaux écartés au cours de la période de contestation.
La vérification des procès verbaux des candidats à la députation est en cours et celle des candidats au sénat commencera ce 31 mars.
Le directeur du CTV explique la mise à l’écart d’un plus grand nombre de procès verbaux par un rehaussement des critères de vérification en application au centre suite aux recommandations de la mission d’évaluation de l’OEA au lendemain du premier tour.
Pour le second tour des présidentielles et législatives, ce sont au total 15.200 procès verbaux qui ont été acheminés à l’UCL pour la vérification de leur authenticité et leur et fiabilité.
Ces procédures ont causé un délai par rapport à la date initialement prévue (31 mars) pour la publication des résultats, reportée au 4 avril, a annoncé le 29 mars le CEP.

Haiti - CEP : Access forbidden for Enel Jean Désire

Haiti - CEP : Access forbidden for Enel Jean Désire
In the press release #92, Gaillot Dorsinvil, President of the Provisional Electoral Council recalls that the Adviser Jean Enel Désir had submitted his resignation to the President of the Republic by letter dated August 16, 2010, a copy of the correspondence was forwarded to the administration of CEP. The Council wishes to clarify for the public in general and the press in particular, that the attempt for regain his function of the former Councillor Desire, which is the subject to prosecution for corruption, seeks to undermine the legitimate operation of the Council and to impair the integrity, both physical and moral of its members.

Consequently, electoral advisers have decided to formally prohibit access to the premises of the institution concerned, especially as the latter circulates accompanied by armed men and is also armed.

The Provisional Electoral Council recalled that since his resignation Mr Desire is no longer entitled to intervene or act on behalf of the Institution. The Provisional Electoral Council was thought useful to make this development so that no one ignores and reiterates its determination to complete the electoral process.

Haïti - Reconstruction : Emplois - Plan stratégique

Haïti - Reconstruction : (VI) Emplois - Plan stratégique
Aujourd’hui, 12 mois après le tremblement de terre, le financement a commencé à arriver, mais lentement. Les communautés nationales et internationales commencent à travailler conjointement de manière plus efficace. La Commission Intérimaire pour la Reconstruction d’Haïti (CIRH) est en train de jouer un rôle actif dans cette coopération, comme le montrent les projets qu’elle a approuvés (à hauteur de 3 milliards de dollars) et pour lesquels les organisations internationales se sont engagées en partenariat avec des ministères haïtiens.

Alors que les donateurs commencent à honorer leurs engagements, ils sont confrontés à la difficulté d’évaluer les faits reflétant les besoins les plus urgents qui se posent sur le terrain, un grand nombre d’entre eux se demandent comment établir un ordre de priorité pour leurs dépenses.

Le plan stratégique, présenté, lors de la quatrième réunion de la CIRH le 14 décembre 2010 à Santo-Domingo en République Dominicaine, permettra d’orienter les agents d’exécution des projets, les donateurs et les investisseurs à mesure qu’ils honoreront les engagements contractés aux fins de la reconstruction et du développement d’Haïti, et accorderont un financement additionnel qui fait grandement défaut. Élaboré conjointement par la CIRH, les experts internationaux et les dirigeants des ministères, ce plan souligne un grand nombre des besoins les plus importants qu’Haïti devra satisfaire d’ici la fin du mandat de la CIRH (octobre 2011).

Chaque jour de la semaine nous vous ferons découvrir un volet de ce plan stratégique pour 2011. Aujourd’hui nous traiterons de l’Emploi

Cibles visées et justification :
La création d’emplois est une priorité absolue pour le redressement d’Haïti. Certes, les statistiques de l’emploi sont difficiles à établir, mais Haïti a le plus haut taux de chômage de la région et peut-être de l’ensemble du monde en développement. Au moins 70 % de la population n’a pas d’emploi stable, et la proportion élevée de la population représentée par les moins de 18 ans ne fait qu’accroître la nécessité urgente de créer des moyens permettant aux citoyens de gagner un revenu stable.

La création d’emplois est nécessairement un effort intersectoriel et elle résulte souvent de stimulants indirects, de nombreux nouveaux emplois découlant d’une reprise vigoureuse et d’un accroissement des investissements. Aussi les cibles sont-elles orientées dans une direction donnée et dépendent-elles davantage des progrès de l’ensemble des efforts de reconstruction. Néanmoins, dans l’intention de se placer elle-même ainsi que la communauté internationale devant ses responsabilités, la CIRH met de l’avant les aspirations suivantes :
  • Si les engagements de financement obtenus pour 2011 arrivent à temps pour lancer des projets maximisant la création d’emplois, la Commission estime que des centaines de milliers d’Haïtiens de plus peuvent avoir un emploi à plein temps avant la fin de son mandat. Ce chiffre comprend :
    - Des emplois en dehors de Port-au-Prince, principalement dans l’agriculture, l’aménagement des bassins versants et la construction de routes;
    - Des emplois découlant du logement et des activités de développement rattachées aux décombres.
  • En outre, la Commission estime que d’ici octobre 2011 la construction de cinq parcs industriels, dont deux publics et trois privés, aura commencé.

Programmes requis et interdépendance avec d’autres secteurs :

La CIRH peut stimuler la croissance de l’emploi de différentes façons :
  • En veillant à ce que l’opération de reconstruction (p. ex., le déblaiement ou la réparation des maisons) maximise la création d’emplois locaux temporaires et crée les habiletés nécessaires pour aider les travailleurs à trouver des emplois plus durables.
  • En ciblant des projets spécifiques pour accroître le nombre d’emplois permanents disponibles dans des secteurs tels que l’agriculture et la fabrication. Par exemple, il y a pour cela un éventail de moyens allant de la création d’un mécanisme de crédit à la construction de parcs industriels.
  • En s’acquittant de sa tâche avec efficience pour accélérer le redressement du pays, lancer les projets d’infrastructure nécessaires, doter le gouvernement des capacités nécessaires et canaliser les investissements directs internationaux de manière à créer un climat attrayant pour l’investissement direct étranger. Ce faisant, elle contribuera à favoriser une création rapide d’emplois.

La CIRH est en train de faire ces trois choses. Elle est en train de rationaliser la création d’emplois via son processus d’examen des projets, exigeant que les projets maximisent la création locale d’emplois. Elle a également approuvé divers projets, notamment un projet de parc industriel de 174 millions de dollars, qui créera des dizaines de milliers de nouveaux emplois durables. En outre, la Commission a toujours affirmé qu’Haïti est ouvert aux investissements et qu’elle est en train de convertir la réaction remarquable de la communauté internationale en investissements durables dans le secteur privé haïtien.

Les donateurs peuvent contribuer de trois façons à la réalisation de l’objectif de création d’emplois.

Premièrement, ils doivent toujours garder à l’esprit les critères de la Commission en ce qui a trait à la création d’emplois. En particulier, en ce qui concerne l’utilisation de la main-d’œuvre et des services locaux, l’approvisionnement local et la conception de programmes visant la formation des ouvriers. Le tableau suivant montre les critères spécifiques utilisés par la Commission pour évaluer les projets liés à la création d’emplois.

Critère 8 : DURABILITÉ des PROJETS
Le projet favorise-t-il un changement durable? : Le projet est-il accompagné d’un plan adéquat visant à assurer que le gouvernement haïtien ou d’autres entités ou bénéficiaires de projets auront les ressources suffisantes et/ou la capacité de préserver les incidences du projet?
    Considérations d’ordre général :
  • Le projet contribue-t-il suffisamment à la création de capacités et à la formation pour que les Haïtiens locaux puissent profiter à long terme du projet et/ou jouer un rôle accru dans son exploitation continuelle?
  • Le projet fournit-il un soutien suffisant pour assurer l’exploitation continuelle de l’infrastructure ou des installations mises en place par le projet?
  • Le projet est-il doté d’un plan clair de transfert des responsabilités des coûts d’exploitation au gouvernement ou à d’autres entités ou comporte-t-il un plan de mesures de récupération des coûts capable de garantir sa viabilité continuelle?
  • De même, le projet comporte-t-il une méthode qui lui permettra de mettre à contribution la communauté locale pour assurer son succès à long terme?
  • Le cas échéant, le projet permet-il de mieux reconstruire pour réduire les risques découlant des catastrophes, notamment les tremblements de terre, les incendies, les ouragans et autres cataclysmes naturels?

Critère 9 : APPROVISIONNEMENT LOCAL
Le projet favorise-t-il un changement durable? : Le cas échéant, le projet entend-il maximiser son utilisation des ressources locales en tenant compte de sa portée et de ses objectifs?
  • Emplois locaux : Le projet semble-t-il avoir pris des mesures avisées pour créer des emplois locaux?
    Considérations générales :
  • Le projet utilise-t-il le niveau de main-d’œuvre locale que permettent d’escompter ses objectifs, les habiletés requises pour le compléter et les compétences de la main-d’œuvre locale?
  • Le projet prend-il les mesures nécessaires pour accroître le niveau de main-d’œuvre locale qu’il utilisera à la longue en recourant aux programmes de formation et aux autres mesures de création de capacités?
  • Approvisionnement local :
    Le projet semble-t-il avoir pris des mesures avisées pour s’approvisionner localement?

    Considérations générales :
  • Le projet utilise-t-il les matériaux locaux qu’il devrait utiliser, compte tenu de ses objectifs, de la nature des matériaux nécessaires et de leur disponibilité ou de la possibilité pratique de les obtenir en Haïti?
  • Le projet prend-il les mesures nécessaires pour accroître son approvisionnement local?
  • Le problème tient-il suffisamment compte de la question de savoir si ses politiques d’approvisionnement et les services qu’il fournit n’auront pas un impact négatif sur l’économie locale en remplaçant par ses propres produits ou services par des choses que l’économie locale aurait pu soutenir ou fournir?

Les projets tenant sérieusement compte des considérations qui précèdent ne manquent pas. La Banque Mondiale a présenté un projet de logement qui utilisera et formera les travailleurs locaux dans la réparation et la construction de logements. Un projet présenté par l’ONG Solar Electric Light Fund emploiera 195 Haïtiens qui travailleront à l’installation de matériel de production d’énergie solaire et formera trois Haïtiens qui prendront la relève pour entretenir ce matériel de manière permanente.

Deuxièmement, les donateurs peuvent contribuer à la réalisation des objectifs de création d’emplois en concevant et en présentant des projets destinés à produire directement des emplois durables. La CIRH a précisé qu’elle aimerait voir commencer la construction de deux parcs industriels publics et de trois parcs privés d’ici octobre 2011. Le gouvernement d’Haïti, l’USAID et la BID ont travaillé à la préparation de la première phase de création d’un parc industriel qui, une fois terminé, engagera directement 65,000 personnes. Il va de soi que la Commission accueillera favorablement les autres projets créateurs d’emplois durables. Par exemple, la BID a créé pour les petites et moyennes entreprises un mécanisme de financement qui stimulera la création d’emplois à l’échelle locale.

Troisièmement, en s’associant à la Commission et en diffusant le message relatif à l’investissement que la communauté internationale effectue actuellement en Haïti, les donateurs peuvent contribuer à attirer des investissements privés. Ils peuvent également structurer des programmes susceptibles de stimuler l’intérêt pour les investissements privés dans le pays.

mercredi 30 mars 2011

Nicolas Ronel and his Club jose marti in Haiti

 
 Alcune lettere dei ragazzi Haitiani, giunte ad ECOARTE

Inoltre Meláneo Maaden Betancourt, Coordinatore del Progetto ECOARTE, ha ricevuto anche una lettera dal Club "José Martí" , ubicato nell'isola haitiana, con il seguente testo:
" Stimato Melaneo,

Non puoi immaginare la profonda gioia dei bambini haitiani, nel leggere le lettere dei bambini cubani, che sono già entrati nel loro cuore. Il prossimo 17 settembre il Club di solidarietà con Cuba -José Martí- realizzerà un'attività a favore dei Cinque Eroi cubani a Cabo Haitiano, la seconda città del Paese. Trasmetti il nostro saluto fraterno ai piccoli amici cubani che amiamo tanto. Ti invio alcune foto delle attività che abbiamo realizzato.
Nicolás Ronel
Presidente nazionale
"
 Alcune foto del Club"José Martí" di Haiti - a destra, il Presidente nazionale Nicolás Ronel


Tutti i lavori dei bambini di Haiti, saranno esposti nella Galleria d'Arte di Moa, nell'ambito del concorso "HAITI CUBA". A curare l'organizzazione dell'Esposizione sarà l'Artista Plastico e Professore José Ángel Guilbeaux Vargas, come da comunicazione di Meláneo Maden Betancourt, all'Ambasciatorre Haitiano:
José Ángel Guilbeaux Vargas: curerà l'esposizione dei lavori 

 "Informiamo per conoscenza dell'Eccellentissimo Signor Ambasciatore della Fraterna nazione di Haiti, che l'Artista Plastico e Professore José Ángel Guilbeaux Vargas, sarà il coordinatore per il montaggio della esposizione del Concorso -HAITI CUBA- del Programma ECOARTE. 
Grazie per la possibilità che ci state offrendo.

Saluti.

Melaneo Maden Betancourt
"
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ECOARTE:De Haití, las primeras cartas de los niños, jóvenes y adolescentes Haitianos y un mensaje del "Club José Martí"
Por  Stefano Guastella - Moa (Holguín) - 13 de septiembre de 2010 - Llegaron a ECOARTE, a través del Excelentísimo Señor embajador de la hermana nación de Haití, Jean Victor Généus, (veas Artículo en Quintavenida: La carta de Jean Victor Généus), las primeras cartas de los niños, jóvenes y adolescentes haitianos, (en esta página pueden ver algunas).
 unas de las cartas que llegaron de Haití

Además Meláneo Maden,  recibió un mensaje por el Club "José Martí" de Haití con estas lindas palabras:
"Estimado Melaneo

No puedes imaginar la profundidad del gozo de los niños haitianos por leer las cartas y documentos de los niños cubanos a quien  amamos tanto ya. El 17 de septiembre, el Club de solidaridad con Cuba en Haití Jose Marti tendrá una actividad a favor de los cinco en cabo haitiano, secunda ciudad del país. Trasmite nuestro saludo fraternal a los amiguitos cubanos a quienes queremos tanto. Te envío algunas fotos de actividades realizadas ya por nosotros

Nicolás Ronel
Presidente nacional"

Unas fotos del Club"José Martí" de Haitií - a la derecha, il Presidente nazionale Nicolás Ronel

Todos los trabajos de los niños haitianos, serán mostrados en Moa, en el Marco del Concurso "HAITÍ CUBA", in una  exposición que será coordinada por el Artista y Profesor José Ángel Guilbeaux Vargas, como se puede leer en las palabras de Meláneo Maden Betancourt, dirigidas al Excelentísimo Señor embajador de la hermana nación de Haití, Jean Victor Généus:
 el Artista y Profesor José Ángel Guilbeaux Vargas, coordinador de la Exposición de los Trabajos

"Le informamos para el conocimiento del Excelentísimo Señor embajador de la
hermana nación de Haití, que el Artista de la plástica y profesor José Ángel
Guilbeaux Vargas, es el Coordinador para el montaje de la exposición del
Concurso HAITÍ CUBA del Programa ECOARTE.

Gracias por la posibilidad que nos brindan.

Saludos.

Melaneo Maden Betancourt"

Invitation à un seminaire sur la campagne electorale

Chers bloggeurs
Je tiens à vous saluer et profiter du meme coup pour vous inviter à participer à un séminaire les 16,23 et 30 avril 2011 sur la campagne électorale dans les dernières semaines. Pour tout contact écrivez nous à josemarticabo2004@yahoo.fr

Discover the pride of the Haitian history !

These are three pictures of Citadelle, a great and historical building in the north of Haiti very near to Cap haitian. It's just a place to visit and discover up to a hill.



                       

Kisaw panse de imaj sa nan peyi afriken an Libye?

Tirs du destroyer américain lance-missiles Barry, le 19 mars 2011.
Men imaj sa kap pase nan peyi Libye. kisaw panse?

Men kijan wahington post jounal ameriken an prezante boulva Jan jak desalin. Saw panse?

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Haiti
Men koman jounal ameriken washington post prezante boulva jan jak desalin potoprens avèk komantè zon mal anpil. Kisaw panse?

Réflexions de Fidel Castro : LA GUERRE INÉVITABLE DE L’OTAN (II)

Mundo
Quand, s’inspirant  de son collègue égyptien Abdel Gamal Nasser, le colonel de l’armée libyenne, Mouammar el-Kadhafi, alors âgé de vingt-sept ans, renversa le roi Idris Ier, il prit d’importantes mesures révolutionnaires comme la réforme agraire et la nationalisation du pétrole. Il consacra les revenus croissants au développement économique et social, en particulier aux services éducationnels et sanitaires de la peu nombreuse population d’un immense pays majoritairement désertique aux rares terres cultivables.

Une mer d’eau fossile très étendue et profonde gît sous ce désert. Et il m’avait semblé, après avoir connu une zone de culture expérimentale, que ces eaux seraient à l’avenir plus précieuses que le pétrole.
La foi religieuse, prêchée avec la ferveur qui caractérise les peuples musulmans, aidait en partie à compenser la forte tendance tribale qui caractérise encore ce pays arabe.
Les révolutionnaires libyens élaborèrent leurs propres idées et les appliquèrent dans des institutions juridiques et politiques que Cuba se fit une norme de respecter.
Elle s’abstint absolument d’émettre des vues sur les conceptions de la direction libyenne.
Mais je constate clairement que les États-Unis et l’OTAN s’inquiètent surtout, non de ce qu’il se passe en Libye, mais de la vague révolutionnaire qui déferle dans le monde arabe et qu’ils veulent freiner à tout prix.
Car il est incontestable que, ces dernières années, les rapports des USA et de leurs alliés de l’OTAN avec la Libye étaient excellents…, jusqu’à la rébellion en Égypte et en Tunisie.
Aucun dirigeant des pays de l’OTAN ne faisait état de problèmes quand il rencontrait Kadhafi ; la Libye était devenue une source sûre de pétrole de grande qualité, de gaz, voire de potasse. Les difficultés surgies entre eux dans les premières décennies avaient été surmontées.
Le pays s’était ouvert à l’investissement étranger dans des secteurs stratégiques comme la production et la distribution du pétrole.
La privatisation avait touché de nombreuses sociétés publiques. Le Fonds monétaire international jouait son rôle béatifique dans la mise en place de ces opérations.
Bien entendu, Aznar ne tarissait pas d’éloges envers Kadhafi. Et, à sa suite, Blair, Berlusconi, Sarkozy, Zapatero et jusqu’à mon ami le roi d’Espagne défilèrent sous le regard narquois du leader libyen. Ils étaient heureux.
J’ai l’air de me moquer, mais c’est faux. Car je me demande tout simplement : pourquoi veulent-ils maintenant envahir la Libye et traduire Kadhafi devant la Cour pénale internationale de La Haye ?
On l’accuse du matin au soir d’avoir fait tirer contre des citoyens désarmés qui protestaient. Pourquoi ne dit-on pas au monde que ce sont les États-Unis, la Grande-Bretagne et d’autres hôtes illustres de Kadhafi qui lui ont fourni les armes et surtout les équipements de répression sophistiqués qu’il possède ?
Je m’oppose aux mensonges cyniques par lesquels on prétend justifier l’invasion et l’occupation de la Libye.
Ma dernière visite à Kadhafi remonte à mai 2001. Quinze années s’étaient écoulées depuis que Reagan avait attaqué sa résidence plutôt modeste, mais il avait tenu à me faire constater les grandes destructions qu’y avait causées la frappe directe de l’aviation, laquelle avait aussi tué sa petite fille de trois ans… Assassinée par Ronald Reagan ! Il n’y avait pas eu dans ce cas d’accord préalable de l’OTAN, du Conseil des droits de l’homme ni du Conseil de sécurité.
Ma visite antérieure datait de 1977,  huit ans après le début de la révolution en Libye. J’avais visité Tripoli ; j’avais participé au Congrès du peuple libyen à Sebha ; j’avais parcouru les zones agricoles où se déroulaient les premières expérimentations à partir des eaux tirées de l’immense mer fossile ; j’avais connu Benghazi où j’avais fait l’objet d’un accueil chaleureux. La Libye était un pays légendaire qui avait été le théâtre de batailles historiques durant la dernière guerre mondiale. Elle ne comptait même pas six millions d’habitants, et ses énormes réserves de pétrole léger et d’eau fossile n’avaient pas encore été découvertes. Et les anciennes colonies portugaises d’Afrique s’étaient déjà libérées.
En Angola, nous avions lutté quinze années durant contre les bandes mercenaires organisées par les États-Unis sur des bases tribales, contre le gouvernement de Mobutu et contre l’armée raciste de l’apartheid, bien équipée et bien entraînée. Celle-ci, obéissant – on le sait aujourd’hui – à  des instructions des États-Unis, avait envahi l’Angola en 1975 pour empêcher son indépendance, et ses forces motorisées étaient parvenues aux portes de Luanda. Plusieurs instructeurs cubains moururent durant cette invasion brutale face à laquelle nous dépêchâmes de toute urgence des ressources.
Une fois expulsées du pays par les troupes internationalistes cubaines et les troupes angolaises jusqu’à la frontière de la Namibie occupée par l’Afrique du Sud raciste, celle-ci reçut pendant treize ans la mission de liquider la révolution en Angola.
Elle mit au point l’armée atomique avec l’appui des États-Unis et d’Israël. Et elle la possédait déjà quand les troupes cubaines et angolaises mirent en déroute ses forces terrestres et aériennes à Cuito Cuanavale et, bravant les risques, utilisant les tactiques et les moyens classiques, progressèrent jusqu’à la frontière namibienne où les troupes de l’apartheid prétendaient résister. Nos troupes ont, deux fois dans leur histoire, couru le risque d’être attaquées par ce genre d’arme : en octobre 1962 et dans le Sud angolais, mais, dans ce second cas, même l’arme nucléaire n’aurait pas empêché la défaite de l’Afrique du Sud qui marqua la fin de son système odieux. Tout ceci se passait sous l’administration Ronald Reagan aux USA et sous Pieter Botha en Afrique du Sud.
Nul ne parle de cette aventure impérialiste, ni des centaines de milliers de vies qu’elle a coûtées.
Je regrette d’avoir à rappeler ces faits quand un autre grand risque pèse sur les peuples arabes parce qu’ils ne résignent plus au pillage et à l’oppression dont ils sont victimes.
La révolution dans le monde arabe, que redoutent tant les États-Unis et l’OTAN, est la révolution de ceux qui n’ont aucun droit face à ceux qui font étalage de tous les privilèges et elle est donc appelée à être plus profonde que celle qui éclata en Europe à partir de la prise de la Bastille en 1789.
Même Louis XIV, qui proclama : « L’État, c’est moi ! », ne bénéficiait pas des prébendes du roi Abdallah d’Arabie saoudite, encore moins de l’immense richesse qui git sous la surface de ce pays quasi désertique où les transnationales yankees décident de l’extraction du pétrole et contrôlent donc les cours mondiaux de ce produit.
Depuis que la crise a éclaté en Libye, l’extraction du pétrole en Arabie saoudite a augmenté d’un million de barils par jour, à un coût minime, de sorte que les revenus de ce pays et de ceux qui le contrôlent s’élèvent, rien qu’à ce titre, à un milliard de dollars par jour.
Mais que personne ne pense que le peuple saoudien baigne dans la richesse. Les récits des conditions de vie de nombreux travailleurs du bâtiment et d’autres secteurs, contraints de travailler treize ou quatorze heures par jour pour des salaires misérables, sont émouvants.
Effrayée par la vague révolutionnaire qui ébranle le système de pillage en place depuis les faits dont les travailleurs ont été les protagonistes en Égypte et en Tunisie, mais aussi par les actions des jeunes chômeurs en Jordanie, dans les territoires occupés de Palestine, au Yémen, et même au Bahreïn et dans les Émirats arabes aux revenus plus élevés, la haute hiérarchie saoudite vit sous l’impact des événements.
À la différence de ce qu’il se passait autrefois, les peuples arabes reçoivent aujourd’hui des informations presque immédiates, quoiqu’extraordinairement manipulées, sur le cours des événements.
Le pire pour le statut des secteurs privilégiés, c’est que les faits – qui sont têtus, on le sait – coïncident avec une hausse considérable des cours des aliments et avec les retombées dévastatrices des changements climatiques, tandis que les États-Unis, le plus gros producteur de maïs au monde, utilisent presque 40 p. 100 de ce produit subventionné et une part importante de leur soja pour fabriquer des biocarburants destinés aux moteurs de voitures. Lester Brown, l’écologiste étasunien le mieux informé au monde sur les produits agricoles, peut nous offrir sûrement une idée de la situation alimentaire actuelle.
Le président bolivarien Hugo Chávez tente un vaillant effort pour trouver un règlement en Libye sans intervention de l’OTAN. Ses possibilités de succès augmenteraient s’il parvenait – ce qui serait un exploit – à créer un vaste mouvement d’opinion avant, et non après, l’intervention, afin que les peuples ne  voient  pas se répéter dans d’autres pays l’atroce expérience de l’Iraq.
Je conclus ici ces Réflexions.


Fidel Castro Ruz
Le 3 mars 2011
22 h 32

Jean Claude Duvalier finds his house


Jean Claude Duvalier finds his house and the legal proceedings Jean Claude Duvalier received his leave of l' yesterday; hospital of the green Settee where it had been allowed for 8 days. At its exit of l' hospital l' ex president greeted several tens of its partisans. The duvalierists qualified d' arbitrary l' order d' house arrest imposed by an examining magistrate last week. Even s' he left the hospital d' a hesitant step, Mr. Duvalier all the same exchanged greetings and smiles with its partisans. Family members of Duvalier n' did not want to do too many comments on its health condition. A close relation estimated, under cover of l' anonymity, that Duvalier was always suffering: " He is very sick, but I could not explain you (why). He returns parce qu' at the house it will be able to receive the visit of its proches". Baby Doc. had been allowed with l' hospital of the green Settee on Wednesday March 23 for pains with the chest. Then qu' it regained its residence under police escort, Duvalier sees specifying the continuations for corruption and violations of the human rights. The Haitian governmental authorities request from now on l' support of international lawyers for the continuation of the proceedings. The managing director of the ministry for justice, Andre Antoine, intervening by front inter-American Commission of the rights of l' man, supported that " l' legal aid of the international community is necessary if we want vraiment" that Duvalier " that is to say jugé". A group of victims which seeks to translate into justice l' Haitian ex-dictator Jean-Claude Duvalier requested yesterday from the inter-American Commission rights of l' man (CIDH) the support of the international community to break the " system d' impunité" reigning in Haiti. " Without l' international assistance, us n' will not be likely to see rewarded our efforts so that justice is appliquée" , explained the journalist and old spokesperson of l' UNO Michele Went up.

Lisez les reflexions de Fidel pour mieux le comprendre

Mundo
Fidel Castro,l'homme qui a bien marqué son époque. Il a publié ses reflexions que je vous invite à lire quotidiennement sur notre blog pour mieux voir et comprendre qui il est reellement et son idéologie.

Importante emisora radial de Cabo Haitiano se convierte en tribuna de lucha por la liberación de los Cinco

Haití, 14 de julio 2010.- En la noche del 13 de julio, el joven funcionario del MINREX Fakri Rodríguez Pinelo, quien labora junto a la Brigada Médica Cubana en el Departamento Norte de Haití, ofreció una entrevista a la emisora radial “Contac Inter”, una de las más populares en la ciudad de Cabo Haitiano. En la misma se abordaron la historia y actualidad del caso de los Cinco, así como temas relacionados con la realidad cubana.
El funcionario brindó un recuento de las irregularidades que enfrentaron los cinco jóvenes cubanos durante el proceso judicial en los Estados Unidos y destacó la importancia de romper el muro de silencio que rodea el caso. Así mismo, hizo un llamado al pueblo haitiano para que se informe sobre tales injusticias y reclame junto al resto del mundo la inmediata liberación de los cinco, quienes permanecen recluidos injustamente en cárceles estadounidenses por más de 11 años.
Otros temas abordados en la emisión radial, la cual se escuchó en cuatro departamentos del norte de Haití, fueron la lucha del pueblo cubano contra el injusto bloqueo estadounidense a la isla y las relaciones de amistad y cooperación entre Cuba y Haití. En este sentido, Rodríguez Pinelo argumentó que Cuba continuará brindando su ayuda solidaria al pueblo haitiano, principalmente en la atención médica a través de los Hospitales Comunitarios de Referencia.
Ante la pregunta del conductor del programa sobre la recuperación del Comandante en Jefe Fidel Castro Ruz, se comentó la participación del mismo en la Mesa Redonda del 12 de Julio, y se destacó su repercusión en el pueblo cubano, el cual ha confiado en su guía certera durante 51 años de Revolución.
También estuvieron presentes en la cita, la Jefa de la Brigada Médica Cubana en el territorio, Magdelidia Zalazar Naranjo y el Presidente del Club “José Martí”, el haitiano Nicolás Ronel.                       (Cubaminrex - Embacuba Haití)

Les résultats préliminaires des élections seront publiés le 4 avril 2011

KLEB JOSE MARTI NEEDS FRIENDLY HANDS

Hi,friends!
We are the KLEB JOSE MARTI( KJM) a social and legal organisation ,in cap haitian Haiti. we work in education and technical trainnig area. we offer scholarship to children and youth in need because Haiti needs friendly hands to help it move away from the pit where it is since its independance dependant.we invite all of our friends around the world who desire to join us for being able to help more children and youth in need to do so.We are very open to discuss whatever purpose in our field work.